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Question


bonjour pouvez vous m'aider svp Encadrez en rouge les verbes conjugués,
soulignez leur sujet et entourez en vert les mots
subordonnants. Mettez entre crochets verts les pro-
positions subordonnées, soulignez en rouge les pro-
positions principales et en bleu les indépendantes.
1. Il m'ennuyait un peu, mais je n'avais rien à faire et je
n'avais pas sommeil (CAMUS)
2. Lorsqu'il faisait noir, que les chiens de la ferme voisine
commençaient à hurler et que le carreau de notre petite
cuisine s'illuminait, je rentrais enfin.(ALAIN-FOURNIER)
3. J'enlaidis, mon nez rougeoya; il me poussa sur le visage
et sur la nuque des boutons que je taquinais avec nervo-
sité. (BEAUVOIR)
4. Dans la chambre de ma grand-mère les livres étaient
couchés; elle les empruntait à un cabinet de lecture et je
n'en ai jamais vu plus de deux à la fois. (SARTRE)​

2 Réponse

  • Réponse :

    Explications :

    Bjr,

    1. [Il m'ennuyait un peu], mais [je n'avais rien à faire] et [je

    n'avais pas sommeil] (CAMUS)

    Pas de subordonnées,  indépendantes cordonnées

    2. [Lorsqu'il faisait noir] (PS), [que les chiens de la ferme voisine

    commençaient à hurler] (PS) et [que le carreau de notre petite

    cuisine s'illuminait] (PS) , [je rentrais enfin] (PP).(ALAIN-FOURNIER)

    subordonnants: lorsqu' , que, que,

    3. [J'enlaidis](PI) ,[ mon nez rougeoya]  (PI) ; [il me poussa sur le visage

    et sur la nuque des boutons] (PP) [que je taquinais avec nervo-

    sité.] (Subordonnée relative , subordonnant: que)  (BEAUVOIR)

    4.[ Dans la chambre de ma grand-mère les livres étaient

    couchés;](PI) [elle les empruntait à un cabinet de lecture] (PI ) et [je

    n'en ai jamais vu plus de deux à la fois] ( PI) . (SARTRE)​

  • Réponse :

    Bonjour

    Explications : subordonnant en italique

    crochet remplacé par les parenthèses.

    Il m'ennuyait (verbe) un peu, (mais je n'avais rien à faire) (et je  n'avais pas sommeil).

    Lorsqu'il faisait noir, (que les chiens de la ferme voisine  commençaient à hurler) et (que le carreau de notre petite  cuisine s'illuminait), je rentrais enfin.

    J'enlaidis, mon nez rougeoya; il me poussa sur le visage  et sur la nuque des boutons (que je taquinais avec nervosité).

    Dans la chambre de ma grand-mère, les livres étaient  couchés; elle les empruntait à un cabinet de lecture (et je n'en ai jamais vu plus de deux à la fois).

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